Sur LN24, à l’occasion de la grève nationale, notre Président David Leisterh a eu l’occasion d’expliquer pourquoi le blocage des prix tel qu’opéré dans d’autres pays était en réalité une facture reportée pour les citoyens et entreprises.
Il a aussi pu revenir sur le concept d’actionnariat salarié qui permettrait aux secteurs qui font des marges bénéficiaires sur lesquels certains veulent rogner de mieux associer leurs salariés à leurs gains et non plus uniquement aux pertes.
Derrière cela, il y a un concept fondamental sur lequel on doit revenir : notre société a évolué en termes de progrès social, humain, technologique, etc mais le rapport entre employés et patrons reste assez identique à celui du 19ème siècle n’a pas ou peu évolué. La grève d’hier en est un bel exemple : on bloque un pays et des entreprises mais avec quel résultat concret derrière ? Développer l’actionnariat salarié permettrait d’écrire un nouveau contrat social entre patrons et employés et, nous en sommes convaincus, apporterait un souffle salvateur à une économie en rade qui aura besoin de tout le monde, patrons et employés, pour recréer du progrès, de la générosité, du bien-être et de la richesse.
Clin d’oeil à Thomas Dermine qui semblait convaincu par l’idée. Comme quoi, une bonne idée fracture les clivages.