Sur BX1, David Leisterh a fait le point sur différents sujets d’actualité. Il revient notamment sur le service citoyen obligatoire et les raisons pour lesquelles le MR doit être le premier parti en 2024.
Le MR, 1er parti en 2024, pour redresser Bruxelles
Le MR est dans l’opposition depuis 20 ans, et cela se ressent.
- Bruxelles a un des taux de chômage les plus élevés d’Europe
- Bruxelles a un des taux de pauvreté les plus élevés d’Europe
- 40.000 personnes et 3.000 entreprises quittent Bruxelles chaque année
- Bruxelles, c’est un communautarisme de certains qui brise le vivre ensemble que devrait être cette région aux 183 nationalités
- Bruxelles a malheureusement une mobilité imaginée par des donneurs de leçons et faite de bloc de béton qu’on a appelée good move
- Bruxelles, c’est une crise budgétaire où la dette a triplé en 10 ans et où le déficit est passé de 150 millions à 2 milliards
Les Bruxellois veulent une autre alternative. Et pour cela, nous abattons un travail de terrain depuis plus d’un an. Nous sommes tous les week-ends et en semaine aussi, dans la rue à frapper aux portes, à aller sur les marchés pour convaincre de l’idéologie libérale.
Un service citoyen obligatoire pour aider les jeunes
À Bruxelles, il existe des quartiers où des jeunes ont connu leurs parents et leurs grands-parents qui cherchaient un emploi, qui voulaient sortir de cette situation mais ne trouvaient pas la porte.
Le service civil obligatoire est une des solutions. Dans un monde de mondialisation où justement, on cherche à rencontrer le monde dans son ensemble, il faut d’abord qu’on apprenne à se connaître soi-même, à découvrir un maximum de ses passions, de ses opportunités.
Le service citoyen actuel n’est pas suffisant, il n’y a qu’entre 500 et 1000 personnes d’inscrites. Pour David Leisterh, il faut implémenter ce service via une activité en deux temps. D’abord nous voulons que des jeunes venus de toute la Belgique se retrouvent pour une période de tronc commun pendant laquelle nous organiserons des débats et différents ateliers autour de la citoyenneté. Ensuite, nous offrirons aux jeunes la possibilité de rejoindre différents organismes tels que des ASBL, des entreprises, des acteurs sportifs, ou encore des CPAS et le secteur social.
Maroc : un voyage sous la diplomatie parlementaire
Pour David Leisterh, ce voyage était public, il a d’ailleurs été communiqué sur les réseaux sociaux. « J’ai rencontré le Ministre des Affaires Étrangères, j’ai rencontré des autorités sur place, des Gouverneurs de province, des entreprises aussi, parce qu’il y a un développement économique assez puissant dans certaines régions là-bas. Sur place, en effet, il y a un très puissant développement économique qui est en cours, avec pas mal d’emplois qui sont créés. Et c’est une porte d’entrée de l’Afrique. »
Les députés libéraux se sont rendus au Maroc dans le but d’entretenir un partage, un dialogue, une discussion avec les autorités locales. Ce cas est largement différent de celui rapproché à Monsieur Tarabella qui, selon l’enquête, attendrait des valises de billets au bas de tel ou tel hôtel.